Je dis « barrer la porte et pas fermer la porte à clef ». Ça ne dit pas vraiment qui je suis mais un peu... d'où je viens en somme. Petite bourgade du centre-ouest de la France... Bon ceci n'a pas pour but de devenir un guide touristique, je suis Poitevine... pas courant! J'utilise donc quelques expressions de là bas, mes études à Paris n'ont pas tout à fait réussi à me les changer. « J'embauche et je débauche » et ce n'est pas faute de sérieux ou d'une vie stable, c'est plutôt signe au contraire que j'ai un travail quotidien.
Pas de panique, ce n'est pas grave! J'assume très bien. Et même si je fais de l'histoire, je ne travaille pas pour autant ni sur Diane de Poitiers ni sur la fée Mélusine. Et non! Je m'intéresse à la presse... à l'apparition de la photographie dans la presse pour être précise, et à son développement jusqu'à la Grande guerre. Passionnant. Je suis vite passionnée en fait, curieuse, et passionnée!
Alors pour défouler une telle curiosité (et éviter de passer toute l'énergie que j'ai en trop à bavarder, au risque de voir déménager tout l'immeuble, les collègues de bureau, voire la salle entière de la bibliothèque de la Sorbonne quand je me motive assez pour aller bosser dans un calme monacal), je me bouge, je fais du sport... bon ok là pour le short de foot il fait froid, mais quand même... comme ça, je parle moins!
lundi 15 février 2010
lundi 8 février 2010
Bienvenue dans l'univers de Tom Pouce
Le Musée de la Poupée de Paris présente la collection de maisons de poupées miniatures de Madame Riesser. Un retour en enfance fantastique et surtout la découverte d’un art très minutieux.
On rêverait de rapetisser pour pouvoir se promener à l’intérieur de chacune de ces maisons de rêve, de s’installer à la table de la salle à manger pour utiliser l’argenterie, de regarder le feu dans la cheminée du salon victorien, de faire du lèche-vitrine devant les boutiques de tissus, d’aller acheter un gâteau au chocolat dans la pâtisserie alléchante, de le manger dans le café du coin où l’ambiance semble festive…
L’exposition « Maison de poupées : l’art de la miniature » propose à ses visiteurs depuis la fin du mois de septembre de pénétrer dans l’univers des Lilliputiens. Adressée aussi bien aux enfants qu’aux plus grands, elle présente la collection de maisons de poupées contemporaines de Madame Ingeborg Riesser. Véritable pionnière dans le domaine de la miniature en France, cette collectionneuse a réuni cet ensemble de plus de cent magnifiques maisonnettes provenant du monde entier ainsi que des milliers d’objets minuscules.
Lors de la promenade dans ce village miniature, on aimerait chuchoter et marcher sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller le père Noël assoupi dans son atelier de jouets ou pour ne pas déranger les élèves qui écoutent en classe. On rêverait de goûter le plat de la cuisinière en pleine préparation. A quand l’invitation ?
Musée de la Poupée
Exposition « Maisons de poupées : l’art de la miniature »
Du 29 septembre 2009 au 7 mars 2010
Adresse : Impasse Berthaud (vers 22 rue Beaubourg)- 75003 Paris.
Horaires du Musée : du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Tarifs : 8 euros. Tarifs réduit, 5 euros.
Site : www.museedelapoupeeparis.com
Anne-Laure Guérin.
On rêverait de rapetisser pour pouvoir se promener à l’intérieur de chacune de ces maisons de rêve, de s’installer à la table de la salle à manger pour utiliser l’argenterie, de regarder le feu dans la cheminée du salon victorien, de faire du lèche-vitrine devant les boutiques de tissus, d’aller acheter un gâteau au chocolat dans la pâtisserie alléchante, de le manger dans le café du coin où l’ambiance semble festive…
L’exposition « Maison de poupées : l’art de la miniature » propose à ses visiteurs depuis la fin du mois de septembre de pénétrer dans l’univers des Lilliputiens. Adressée aussi bien aux enfants qu’aux plus grands, elle présente la collection de maisons de poupées contemporaines de Madame Ingeborg Riesser. Véritable pionnière dans le domaine de la miniature en France, cette collectionneuse a réuni cet ensemble de plus de cent magnifiques maisonnettes provenant du monde entier ainsi que des milliers d’objets minuscules.
Lors de la promenade dans ce village miniature, on aimerait chuchoter et marcher sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller le père Noël assoupi dans son atelier de jouets ou pour ne pas déranger les élèves qui écoutent en classe. On rêverait de goûter le plat de la cuisinière en pleine préparation. A quand l’invitation ?
Musée de la Poupée
Exposition « Maisons de poupées : l’art de la miniature »
Du 29 septembre 2009 au 7 mars 2010
Adresse : Impasse Berthaud (vers 22 rue Beaubourg)- 75003 Paris.
Horaires du Musée : du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Tarifs : 8 euros. Tarifs réduit, 5 euros.
Site : www.museedelapoupeeparis.com
Anne-Laure Guérin.
La fille aux souris
La fille aux souris
Elle voyage à travers le monde munie de ses ballerines en forme de souris. Anne-Laure, étudiante à la Sorbonne, ne passe pas inaperçue avec ses chaussures. Portrait.
Lorsqu’elle se promène dans la rue, les passants baissent la tête. Etrange me direz-vous. Est-ce un signe de respect ? Un acte de timidité ? Voire de soumission ? Non, non. La jeune Anne-Laure Guérin, 22 ans, étudiante en master d’histoire à la prestigieuse université de la Sorbonne, intrigue par ses chaussures. Cette « globe-trotteuse », comme on la surnomme, foule aussi bien le bitume parisien que les chemins péruviens ou vietnamiens avec ses souliers souris.
Rien à voir avec Mickey, Mimi la souris ou encore Ratatouille. De toute façon la demoiselle ne sait pas cuisiner et elle a passé l’âge des dessins animés. La jeune fille se distingue aux quatre coins de la capitale française et du monde (oui, il faut voir les choses en grand) par sa paire de ballerines blanches surmontées d’une tête de souris en relief. Ses « mulots », comme son ami Ferdinand les appelle, ne quittent presque jamais ses petits petons. Et pour que ces petits mammifères ne se sentent pas esseulés, des souris argentées sont venues rejoindre leurs amies caucasiennes. « Drôles », « originales », « branchées », tous les qualificatifs sont bons pour désigner ces chaussures à l’instinct animal. Une chose est sûre ; les souris ont du succès. Anne-Laure est ravie, elle sourit.
Anne-Laure Guérin
Elle voyage à travers le monde munie de ses ballerines en forme de souris. Anne-Laure, étudiante à la Sorbonne, ne passe pas inaperçue avec ses chaussures. Portrait.
Lorsqu’elle se promène dans la rue, les passants baissent la tête. Etrange me direz-vous. Est-ce un signe de respect ? Un acte de timidité ? Voire de soumission ? Non, non. La jeune Anne-Laure Guérin, 22 ans, étudiante en master d’histoire à la prestigieuse université de la Sorbonne, intrigue par ses chaussures. Cette « globe-trotteuse », comme on la surnomme, foule aussi bien le bitume parisien que les chemins péruviens ou vietnamiens avec ses souliers souris.
Rien à voir avec Mickey, Mimi la souris ou encore Ratatouille. De toute façon la demoiselle ne sait pas cuisiner et elle a passé l’âge des dessins animés. La jeune fille se distingue aux quatre coins de la capitale française et du monde (oui, il faut voir les choses en grand) par sa paire de ballerines blanches surmontées d’une tête de souris en relief. Ses « mulots », comme son ami Ferdinand les appelle, ne quittent presque jamais ses petits petons. Et pour que ces petits mammifères ne se sentent pas esseulés, des souris argentées sont venues rejoindre leurs amies caucasiennes. « Drôles », « originales », « branchées », tous les qualificatifs sont bons pour désigner ces chaussures à l’instinct animal. Une chose est sûre ; les souris ont du succès. Anne-Laure est ravie, elle sourit.
Anne-Laure Guérin
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